PASSER DE L’AUTRE CÔTÉ
Dans cette petite salle cosy et confidentielle, la cuisine franco-japonaise n’a jamais été aussi simple et évidente.
« Il ne s’agit pas de révolutionner la gastronomie, mais d’illustrer les traits communs entre les deux cuisines », annonce Joël Robuchon. Un peu comme chez Yoshi, l’autre restaurant du grand chef qui lorgne vers l’Asie, à Monte Carlo. « On va essayer de faire bien, avec comme seule ambition de réussir les accords avec le saké Dassaï ».
La démarche du lieu se situe loin de la course aux étoiles. Les prix sont abordables. La cuisine, à l’image du chef de cuisine Fabien François, est modeste et précise. Un projet décontracté, une nourriture saine.

Les plats du restaurant.
LE RESTAURANT
Accessible par un escalier rond digne d’un film de Tim Burton, le restaurant, pousse les accords entre saké et bons mets jusqu’à l’harmonie.Dans cette petite salle cosy et confidentielle, la cuisine franco-japonaise n’a jamais été aussi simple et évidente.
« Il ne s’agit pas de révolutionner la gastronomie, mais d’illustrer les traits communs entre les deux cuisines », annonce Joël Robuchon. Un peu comme chez Yoshi, l’autre restaurant du grand chef qui lorgne vers l’Asie, à Monte Carlo. « On va essayer de faire bien, avec comme seule ambition de réussir les accords avec le saké Dassaï ».
La démarche du lieu se situe loin de la course aux étoiles. Les prix sont abordables. La cuisine, à l’image du chef de cuisine Fabien François, est modeste et précise. Un projet décontracté, une nourriture saine.
" "

Les plats du restaurant.

Le Chef cuisinier Fabien François.
« La cuisine française s’adapte presque mieux avec le saké qu’avec les vins ! »
J. Robuchon
J. Robuchon
Originaire du Nord de la France, Fabien François a notamment travaillé chez Michel Roux en Angleterre. Il a ensuite rejoint Joël Robuchon auprès duquel il a cuisiné pendant 10 ans, dont sept à Monaco.
Il était chef depuis deux ans et demi à l’Atelier Joël Robuchon Etoile, lorsqu’il a accepté d’embarquer dans l’aventure DJR.
« J’ai toujours adoré cuisiner, en apportant une attention soutenue aux produits. C’est une passion à laquelle je suis chevillé depuis l’enfance, je ne peux pas m’en passer ! ».
Sa petite brigade soudée de six personnes en cuisine, fonctionne à la confiance et à l’écoute. Elle exécute, avec passion, les plats élaborés par Joël Robuchon : bouillon de crevettes avec shiitakés, black cod mariné au miso blanc... La carte évolue.
Parfois, Dassaï vient parfumer certaines préparations...
Le plat coup de coeur de Fabien François ? La volaille au curry vert avec son riz japonais.
Il était chef depuis deux ans et demi à l’Atelier Joël Robuchon Etoile, lorsqu’il a accepté d’embarquer dans l’aventure DJR.
« J’ai toujours adoré cuisiner, en apportant une attention soutenue aux produits. C’est une passion à laquelle je suis chevillé depuis l’enfance, je ne peux pas m’en passer ! ».
Sa petite brigade soudée de six personnes en cuisine, fonctionne à la confiance et à l’écoute. Elle exécute, avec passion, les plats élaborés par Joël Robuchon : bouillon de crevettes avec shiitakés, black cod mariné au miso blanc... La carte évolue.
Parfois, Dassaï vient parfumer certaines préparations...
Le plat coup de coeur de Fabien François ? La volaille au curry vert avec son riz japonais.
« Ce qui compte, c’est la pureté du goût. On ne fait pas trop de mélanges, on recherche comme toujours avec Joël Robuchon la juste cuisson et la bonne saveur. Le plus simple, c’est souvent le plus compliqué ».
Les plats japonais sont légèrement adaptés au goût européen. Le menu propose distinctement des entrées françaises, ou des entrées japonaises.
Vous pouvez aussi marier votre saké à des mets japonais au salon de thé, qui propose une offre simplifiée de sushis, étoffée de club-sandwichs et burgers. En dehors des heures de restauration
(de midi à 15h et de 18h30 à 22h), le salon bascule sur sa formule pâtisseries-viennoiseries et boissons chaudes.
Toute expérience est possible, donc, au 184. A vous de vous élancer, de l’autre côté.
Les plats japonais sont légèrement adaptés au goût européen. Le menu propose distinctement des entrées françaises, ou des entrées japonaises.
Vous pouvez aussi marier votre saké à des mets japonais au salon de thé, qui propose une offre simplifiée de sushis, étoffée de club-sandwichs et burgers. En dehors des heures de restauration
(de midi à 15h et de 18h30 à 22h), le salon bascule sur sa formule pâtisseries-viennoiseries et boissons chaudes.
Toute expérience est possible, donc, au 184. A vous de vous élancer, de l’autre côté.
« Ce qui compte, c’est la pureté du goût. On ne fait pas trop de mélanges, on recherche comme toujours avec Joël Robuchon la juste cuisson et la bonne saveur. Le plus simple, c’est souvent le plus compliqué ».
F. François
F. François

Les plats du restaurant.

Le restaurant.